La mise en place est réalisée par un professionnel.
La mise en place de l’installation frigorifique au CO2 fait l’objet d’un rapport daté et signé par un professionnel (installateur, bureau d’études,…).
Ce rapport mentionne :
- la r...
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La mise en place de l’installation frigorifique au CO2 fait l’objet d’un rapport daté et signé par un professionnel (installateur, bureau d’études,…).
Ce rapport mentionne :
- la raison sociale et l’adresse du bénéficiaire ;
- l’adresse du chantier si différente de l’adresse du bénéficiaire ;
- les températures des besoins en froid positif et négatif de l’installation ; une justification des valeurs des températures au regard de l’utilisation faite du froid (par exemple : « Tnég = -30°C pour meubles frigorifiques de vente négatifs ») ;
- les puissances des besoins en froid positif et négatif de l’installation ; une justification des valeurs des puissances au regard de l’utilisation faite du froid (par exemple : « Pfnég = 50 kWf pour X ml de meubles frigorifiques de vente négatifs ») ;
- les caractéristiques du groupe existant de production de froid : nature des fluides frigorigènes, puissances installées des compresseurs positifs et négatifs, architecture (cascade, circuits séparés, détente directe, nature du frigoporteur…) ;
- les marque et référence du groupe de production de froid neuf installé (mono-compresseur ou multicompresseurs) ;
- la puissance frigorifique utile positive totale en kW délivrée par les compresseurs positifs neufs, la puissance frigorifique utile négative totale en kW délivrée par les compresseurs négatifs CO2 neufs, ainsi que le point de fonctionnement (températures négative, positive et extérieure) auquel ont été déterminées ces puissances. Ce point de fonctionnement doit être cohérent avec les températures du besoin en froid de l’installation et la zone climatique dans laquelle se situe l’opération ;
- le cas retenu parmi les cas 1, 2 et 3 et, si le cas 3 est retenu, l’option retenue parmi les options 0, 1, 1 bis, 2 et 3, tels que mentionnés dans le tableau de la partie 2 de la présente fiche ;
- dans les cas 1 et 2, le fluide utilisé pour l’étage positif (le CO2 n’est pas éligible) ;
- le cas échéant, les marques et références des éjecteurs ;
- le cas échéant, le fait que l’installation comporte un système permettant l’alimentation des évaporateurs CO2 positifs en régime saturé, et les marques et références des bouteilles principale et secondaire utilisées.
Le document justificatif spécifique à l’opération est le rapport susmentionné.